La  République Sanitaire de France contre les libertés

Par Thierry Jigourel

Depuis plusieurs mois, l’État français, notoirement incompétent face à la crise sanitaire, agite la matraque du gendarme et la peur de la mort comme moyens de gouvernance dans le grand silence des «intellectuels » atteints de catalepsie et des ligues de vertus frappées d’un mutisme surréaliste.

Nous connaissons aujourd’hui une période de privation totale ou quasi-totale de toutes les formes de libertés fondamentales, imposée par l’État. C’est une situation inédite depuis la seconde guerre mondiale et qui rappelle aux Anciens les « heures les plus sombres de notre Histoire ». Or voilà que, pour la seconde fois en quelques mois, l’État français nous empêche de bouger, ferme les librairies, interdit les accès à la culture et impose à la population des conditions quasiment carcérales, à la différence que les prisons ont des bibliothèques, qu’on peut y tisser des liens sociaux et y pratiquer différents sports. Et tout cela au nom d’impératifs sanitaires, à coup de menaces, d’utilisation de la terreur, de culpabilisation et d’infantilisation systématique des masses. Heureusement, ici et là, des voix libres s’élèvent pour dénoncer ce que certains commencent à nommer la République Sanitaire de France, comme il y a la République Populaire de Chine ou la République Démocratique du Congo. Une République Sanitaire qui réagit comme si elle était sous l’influence, voire l’otage de certaines officines dont les liens avec les multinationales pharmaceutiques se dévoilent de jour en jour. Une République dont les responsables politiques, élus ou nommés, sont placés aussi sous le couperet direct de juges qui, pour leur part n’ont jamais de compte à rendre qu’à eux-mêmes, c’est à dire à personne. Et voilà que la population de tout un État se trouve prise en otage à la fois par un lobby médico-pharmaceutique ET un lobby judiciaire. Et que le principe dit «de précaution», jamais avancé en ce qui concerne l’extrême dangerosité du nucléaire ou les néonicotinoïdes nécessaires à l’industrie sucrière, se trouve exploité jusqu’à l’absurde et justifie l’emprisonnement auto consenti de millions d’innocents.

lire la suite dans l'édition papier



Abonnez vous pour recevoir les 6 prochains Numéros de l'Avenir de la Bretagne et soutenir la revue

Suivez nous sur Facebook

Retrouvez nous sur facebookSuivez-Nous sur la page Facebook de l'Avenir de la Bretagne et invitez vos amis.

Cliquez ici

Partagez cette page

Partagez cette page par mail ou sur les sur les réseaux sociaux et faites découvrir l'Avenir de la Bretagne

L'Avenir de la Bretagne

Breizh da Zont - L'Avenir de la Bretagne
Evit Breizh dizalc’h en Europa ar pobloù
Pour une Bretagne libre dans l’Europe des peuples.

 

Revue bimestrielle

  

Abonnez-vous - Contactez-Nous

 
- Mentions Légales - Flux RSS - Site web réalisé par PDS