Après la mort d’une souveraine, quel futur pour les pays Celtes ?

Par Erwan Fouéré

“La Reine est morte ; Vive le Roi”. Ces paroles, qui n’avaient pas été prononcées pendant des décennies, ont retenti non seulement dans les quatre coins du Royaume Uni mais également autour du monde. C’est dire l’impact ressenti dans le monde entier par la disparition d’une Reine qui paraissait immuable et un symbole de permanence dans un monde en effervescence constante. Dans son éditorial pour ce numéro de l’Avenir de la Bretagne, Thierry Jigourel reflète bien le sentiment général : “Le Royaume Uni qui vient de perdre une souveraine que tout le monde s’accorde à considérer comme le ciment de ses diverses parties...”. La démonstration de l’importance de ce sentiment fut la visite que le nouveau roi, Charles III, a effectuée dans les jours qui ont suivi la mort de la Reine et avant qu’elle soit enterrée aux côtés de son mari décédé l’année dernière. Maintenir l’unité du Royaume sera probablement le défi le plus délicat et crucial qu’il devra confronter pendant son règne.

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